la promesse de l’aube – Chong Kok Yew – Romain Gary
« Avec l’amour maternel, la vie vous fait, à l’aube, une promesse qu’elle ne tient jamais. Chaque fois qu’une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont plus que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. » Wikipedia
la piscine – Jacques Deray, Alain Delon, Romy Schneider, Natassja Kinski, 1969
Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusqu’au jour où arrive Harry, au bras de sa fille l’incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l’homme trouble cette vie tranquille. La tension monte. allocine.fr
Christophe Pautrat : Pas dans la piscine !
Inter Brette : effectivement, elle n’est pas à proprement parler « dans » la piscine mais plutôt « sur le bord ». merci de vos commentaires et de votre souci de la précision
La beauté n’est la plupart du temps que la simplicité
La beauté n’est la plupart du temps que la simplicité – Guillaume Apollinaire – Chant de l’honneur
Beauty is mainly no more than simplicity. / Schönheit ist meistens nur Einfachheit.
Je me souviens ce soir de ce drame indien Le Chariot d’Enfant un voleur y survient Qui pense avant de faire un trou dans la muraille Quelle forme il convient de donner à l’entaille Afin que la beauté ne perde pas ses droits Même au moment d’un crime Et nous aurions je crois À l’instant de périr nous poètes nous hommes Un souci de même ordre à la guerre où nous sommes
Mais ici comme ailleurs je le sais la beauté N’est la plupart du temps que la simplicité Et combien j’en ai vu qui morts dans la tranchée Étaient restés debout et la tête penchée S’appuyant simplement contre le parapet
J’en vis quatre une fois qu’un même obus frappait Ils restèrent longtemps ainsi morts et très crânes Avec l’aspect penché de quatre tours pisanes
Cependant, au-delà de cette dimension, un second système sémiologique semble se déployer à travers ces photographies. Car au-delà du sens de l’image qui est celui d’un modèle faisant une démonstration, je saisis une signification de l’image, qui est esthétique : on me montre la beauté. A partir du signe, du sens, qui est la démonstration du produit, un mythe esthétique se forme. En prenant ce signe photographique comme signifiant, et en le reliant au concept de la beauté, le mythe, la signification, est que la personne maquillée ou habillée est la beauté. source : grozeille.co
tags : ongles de pieds, pédicure
France Real : Coupez moi ces ongles que je ne saurais voir
Inter Brette : France Real « Coupez cet ongle que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les chaussettes sont blessées, Et cela fait venir d’horribles pensées. » Le Tartuffe
je voulais garder un corps de rêve (Credit unknown. Please comment or send message)
Comment avoir un corps de rêve en peu de temps ?
Avoir un corps bien sculpté et tonifié, tout en perdant les kilos superflus, c’est le rêve de tout le monde. Mais, très peu font les efforts nécessaires pour atteindre un tel objectif. Pourtant, avoir un corps bien dessiné et une magnifique silhouette est à la portée de tout le monde. source : marieclaire.be
tags : gym aquatique, je ne peux pas j’ai piscine, abdominaux, sangle abdominale
les doigts de pieds sont éternels, septième volet de la série des films de James Bond, adaptation cinématographique du roman éponyme de Ian Fleming paru en 1956
Foot prosthesis from Ancient Egypt: 3,000 years old. The prosthesis, recovered by Swiss researchers in the Sheikh Abd el-Qurna necropolis, belonged to a woman and was finely carved to be aesthetically pleasing and comfortable.
Prothèse d’orteil de l’Égypte ancienne : 3 000 ans. La prothèse, récupérée par des chercheurs suisses dans la nécropole de Sheikh Abd el-Qurna, appartenait à une femme et était finement sculptée pour être esthétique et confortable.
On rencontre ds la docum. le part. prés. adj. caracolant. Qui caracole (cf. Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, p. 898). Au fig. Vif, alerte. Ces calligraphies penchées, caracolantes et passionnées d’une femme du monde à son amant (Cendrars, La Main coupée, 1946, p. 210). (cnrtl.fr)