l’envie irrépressible de jouer
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tag : chat
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à la vitesse d’un dauphin au galop
La marée monte-t-elle à la vitesse d’un dauphin au galop dans la baie du Mont-Saint-Michel ?
Intéressons-nous d’abord à la vitesse d’un cheval au galop. On estime qu’elle est en moyenne de 21 kilomètres par heure, mais il n’est pas rare qu’elle atteigne 60 kilomètres par heure sur un champ de courses.
Les fonds de la baie du Mont-Saint-Michel étant très plats, l’eau y progresse rapidement pendant les grandes marées. Elle peut ainsi atteindre une vitesse d’environ 8 à 10 km/h, contre seulement 4 à 5 km/h sur le reste des côtes françaises. Mais pas de quoi effrayer Jolly Jumper et compagnie ! La vitesse moyenne d’un cheval au galop s’élève en effet entre 20 et 30 km/h. Un chiffre qui grimpe encore bien plus haut si l’on parle des stars des hippodromes. Ainsi, un pur-sang peut galoper jusqu’à 65 km/h, soit 22 km/h de plus qu’Usain Bolt au top de sa forme !
Même au trot, un cheval va à 14-15 km/h, donc plus vite que la mer qui monte au Mont-Saint-Michel. Il n’y a guère qu’au pas (6-7 km/h) que l’équidé devra se presser pour ne pas se retrouver submergé. Quant aux coureurs du dimanche, ils savent en revanche qu’à une vitesse de 8 à 10 km/h, il y a déjà de quoi se prendre une bonne suée ! source : letelegramme.fr
Le Grand dauphin (Tursiops trincatus) appelé aussi souffleur, dauphin à gros nez ou tursiops est très hydrodynamique : sa peau extrêmement lisse réduit grandement les frottements de l’eau quand il se déplace et sa grande nageoire dorsale contribuent à faire de lui le dauphin le plus rapide du monde mais également le mammifère marin le plus rapide du monde. On estime que la vitesse du dauphin est de 60 kilomètres par heure en vitesse de pointe.
les gens fuyaient les incendies – Michael Obermeyer, “Coast Highway Sunset”, gouache on paper
« En tant qu’illustrateur, j’ai toujours créé de l’art pour répondre aux besoins des autres. La peinture, cependant, m’offre la possibilité de créer pour moi-même, de permettre aux autres de voir comment je perçois la vie autour de moi et de m’évader totalement du monde réel pendant un certain temps. J’aime peindre à l’extérieur et travailler rapidement. Cela garde mes peintures fraîches et spontanées. J’aime particulièrement peindre autant d’espaces ouverts que possible, car ils semblent disparaître rapidement.
Lorsque je peins à l’extérieur, en plein air, je dois travailler rapidement en raison de la lumière changeante. J’ai donc une palette limitée de quatre à sept couleurs. Cette disposition ordonnée me permet également de mélanger des couleurs nettes et fraîches.
Michael Obermeyer
tags : feux de forêts, retour en ville
vole dans le village désert – Zhang Linhai : Paradise Series No.36 (oil on canvas, 2005)
Zhang Linhai est diplômé du département de gravure de l’Académie des beaux-arts de Tianjin. Il a commencé par étudier la gravure sur bois puis s’est développé en tant que peintre. Représenter des enfants chauves errant dans un terrain vague et la campagne sont la caractéristique de ses œuvres. Le sujet découle de sa douleur et de sa tristesse personnelles d’enfant et reflète ses luttes d’enfance et ses rêves d’évasion et de libération.
Linhai esquisse rarement ses idées à l’avance et utilise principalement des huiles. Il travaillera directement sur la toile et laissera la composition se développer sous son pinceau. Il n’est pas facile de comprendre l’œuvre de Linhai, à cause de son interrogation sur la vie ; sa médiation sur le destin ; son expérience de la douleur et du bonheur de la vie, s’expriment toujours dans une confusion mystérieuse et une libération de soi. Linhai exprime son idée de manière très obscure et personnalisée, alors qu’en même temps il n’a pas autant de tact que certains artistes, qui peuvent répondre à n’importe quelle question en imposant plus de questions.
De plus, le «surréalisme» n’est pas approprié pour décrire l’art de Linhai car il est plutôt superficiel et inexact. Lin Hai est une personne de forte contradiction, il croit au destin mais il vénère aussi le destin en s’y opposant et même en le battant. Il est son propre Dieu, mais il n’allume jamais de bougies pour lui-même, au lieu de cela, il se permet seulement d’errer librement et mystérieusement dans « cet endroit ». source : lindagallery.art
essaie d’ouvrir les deux – Walkabout, la randonnée, 1971, Jenny Agutter
Le suicide de leur père laisse une adolescente et son petit frère seuls en plein bush australien. Alors qu’ils ont peu d’espoir de survivre dans ce milieu sauvage, leur route croise celle d’un jeune aborigène en plein walkabout, errance rituelle très importante dans la culture des Australiens natifs. Avec lui, ils vont découvrir comment vivre en harmonie avec la nature. Google