la plage : un espace-temps suspendu
Sables d’Olonne, Photo © Bernard Drouillet, 2006
tags : tapis volant, lévitation, illusion d’optique
alt : à côté de l’ombre d’un parasol, un tapis de plage semble flotter au dessus du sable
Eli Eli Lama Sabachthani ?
Black Sabbath
tags : je vous salue Marie, père pourquoi m’as tu abandonné ?
alt : un guitariste de hard rock, un cimetière et une statue de saint à côté d’une croix levant le bras et cachant le soleil
Donne-nous aujourd’hui notre jus de pamplemousse de ce jour
tag : le jus de fruit pressé du dimanche matin
alt : debout devant le ciel, une femme nue presse un pamplemousse entre ses cuisses
le fabuleux bain d’Amélie Poulain
Audrey Tautou nue in ‘Le Libertin’ (2000)
affolée par la présence de l’eau
British Pathé, Cornish water diviner Catherine Bent filmed in 1954
tag : la danse des sourcières, sécheresse
alt : une sourcière agitée de mouvements désordonnés semble possédée par la proximité de l’élément liquide
whose_nose : Zombieland ?
route des vacances = prudence
tags : les chat ces croisés de l’été, ne pas gaspiller ses sept vies
alt : assis sur le siège du mort à l’avant des voitures, un chat noir donne l’exemple avec sa ceinture de sécurité attachée
Nous sommes deux sœurs siamoises
Nées sous le signe des Gémeaux
Mi fa sol la, mi ré
Ré mi fa sol sol sol ré do
Jacques Demy, Les Demoiselles de Rochefort, 1967 / Mark Steinmetz
tag : duel, jumelles
alt : devant la maison, deux chattes siamoises assises symétriquement dos à dos sur une souche
Anne ma soeur Anne ne vois-tu pas la canicule venir ?
Aikaterini Theocharidou
tags : Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et la mer qui verdoie, veille météo, figure de proue, vigie
alt : debout de dos sur un rocher, une femme nue guette l’horizon sur la mer
hydratez-vous
Alessia Morellini, Cup
tag : ceci est mon corps
alt : un gobelet rose en équilibre sur un pied de femme aux ongles vernis assortis
Godzilla : il fait trop chaud pour sauver l’humanité
Monstre emblématique du cinéma japonais, à l’aspect de dinosaure plus ou moins gigantesque selon ses apparitions, celui que l’on nomme Gojira dans sa langue natale, voit le jour en 1954 comme une métaphore assez transparente des dangers liés au « feu nucléaire ».
Lors de sa première apparition, il est ainsi décrit comme étant né à partir des déchets radioactifs issus d’une ancienne bombe nucléaire. Ce qui permet de désigner sans le nommer directement l’ennemi américain. Et ce, l’année même où l’armée des États-Unis entame de nouveaux essais encore plus puissants qu’Hiroshima dans le Pacifique. La peur de la bombe atomique est donc d’autant plus forte dans la culture japonaise. (futura-sciences.com)
alt : un technicien plateau tente sur un tournage de rafraîchir Godzilla avec un éventail