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Brette Ciel Liquide

pose ton sein sur mon bol

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autres publications du 07/11/2022 sur https://www.yves.brette.biz/

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les trains dans le ciel

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The hanging monorail of Chiba, Japan

tag : hollandais volant

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l’autre monde

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l’autre monde – The Imaginary Teapot : virtual faith, Dalle2

tags : dimanche, nonne, religieuse, monde virtuel

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la vie du rail

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tags : les chemins de traverses, grève

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un jour l’homme sera l’égal des dieux

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Salon des Véhicules de Loisirs à Paris-Le Bourget du 24 septembre au 02 octobre 2022. La plus grande vitrine des VDL de France !

tags : avion, Icare, tuning, voiture volante, débuts de l’aviation, religion

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les nouvelles mobilités

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les nouvelles mobilités – Rachel Frick : l’aéroscooter

tags : rétrofutur, atompunk, engin volant, modernité

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la folie des montres connectées

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la folie des montres connectées – Invasion Los Angeles (They Live), John Carpenter, 1988

tags : extra-terrestres, technologie, geek, alien, société, réseaux sociaux

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je suis un homme du futur antérieur

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tag : rétrofuturisme

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zoom et vois tes vacances défiler

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Vaskange, @Vaskange, Artiste / illustration / digital art

tag : mise en abyme

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lève-toi et vole

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lève-toi et vole – Jaén Javier Ruiz Perez

Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).

Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.

Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.

Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.

La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com